L’autre jour, un camarade de la classe mangeait un énorme Tupperwear de spaghetti. Et j’ai eu, moi aussi, de faire un bento de pâtes. Pas de spaghetti car les pâtes collent une fois froides et je trouve qu’ils ne sont pas adaptés pour. Donc un macaroni, et ce que j’avais chez moi: des orecchiette. Vous pouvez prendre aussi des fusilli ou des papillons, ça marchera très bien.
Une recette très simple (comme toujours) et rapide, qui je trouve, garde le goûts des ingrédients.
Voici la recette pour 2:
- 200g pâtes + sel pour la cuisson
- 2 tomates moyennes
- 1 petit morceau d’ail
- 100 à 150g viande hachée
- un peu de champignons
- 1 piment
- huile d’olive
- Dans une casserole, faire cuire la pâte, un peu plus dur qu’al dente. Saler l’eau de la cuisson comme l’eau de la mer.
- Couper l’ail et le piment finement.Couper les tomates en gros dés, les champignons aussi.
- Dans une poêle, mettre 2 tours de bras d’huile d’olive et faire cuire l’ail et le piment. Quand une bonne odeur se fait sentir, mettre la viande hachée.
- Ajouter ensuite le champignon. Arrêter le feu quand c’est cuit. Réserver.
- Egoutter la pâte cuite et mettre dans la poêle avec les tomates et remettre le tout sur le feu. C’est prêt quand la pâte a bien été mélangée, les tomates chauffées. C’est assez rapide.
J’ai mis une feuille de salade ou du chou émincé au fond de la boîte pour que le trop d’eau/huile soit absorbé.
J’ai mis avec, une salade de concombre, surimi avec une sauce mayonnaise/wasabi/sauce soja. Le dosage est à peu près 1 cs/1,5 cc/1 cs. Très frais. A essayer!
J’ai refait une autre version, avec saucisse, asperge, tomate et champignon. Très bon aussi.
C’est plus goûteux qu’une salade de pâte, je trouve. 🙂 Bon appétit!
L’autre jour, je suis allée dans un restaurant chinois original à Akasaka, Tokyo. Il s’appelle Kuronéko Yoru (ce qui veut dire « la nuit du chat noir »).
En plus d’une cuisine très originale, il propose un large choix de baiju, qui veut dire littéralement de l’alcool blanc.
C’est un alcool distillé transparent assez fort. Il est opposé à huángjiǔ, « vin jaune », plus répondu en Chine et dont vous avez déjà pu goûter. C’est jaune/marron et il ressemble au whisky.
Je précise que le baiju n’a rien à avoir avec ce qu’on vous sert dans les restaurants soit disant japonais sous l’appellation saké, avec un dessin de femme nue au fond du verre. Baiju ne sent ni la rose, ni le litchi.
3 différents baiju à essayer avec des amuses bouche. C’est très fort…
On a mangé de la langue de canard laquée (c’est la langue qui était laquée) avec des plats plus traditionnel mais assaisonnés différemment. Le restaurant propose aussi des plats avec des crapauds mais comme je ne suis pas très fan, on n’a pas tenté. Peut être une prochaine fois.
Ce porc aigre douce au vinaigre noir était délicieux. Et j’aime bien la photo 🙂
C’est à Akasakamitsuké, sur la Ginza line. C’est un quartier gorgé de restaurants tous très abordables, très appréciés par les salarymen. Si vous voulez voir une partie du quotidien japonais, il serait intéressant d’aller flâner là bas un vendredi soir 🙂 surtout que le quartier des hôtels n’est pas loin.
A votre prochain voyage?
KuronekoYoru 黒猫夜
Shinohara Bldg. 3F, 3-9-8Akasaka
Minato-ku, Tokyo
03-3582-3536
6:00pm-5:00am; fermé le dimanche